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The Norvins / Press

“Publiés par l’excellent label Soundflat, les Norvins justifient le soutien du label à chaque instant du disque : l’orgue farfisa est omniprésent, et ne se positionne au second plan que pour laisser place à une ligne de basse mémorable (« Scream & Shout ») ou à quelques envolées de guitares remarquables, toujours concises mais très efficaces. Difficile de faire la différence entre les compositions du groupe, très homogènes, et la relecture parfaite du morceau des Texans The Gentlemen (« It’s a crying shame »), tant les Norvins maîtrisent leur sujet ici. Chaque élément est à sa place pour produire l’effet voulu : un disque de rock’n’roll dynamique et dansant, qui apporte un peu de vitalité à la scène française contemporaine. ”

“France, fille aînée des chapelles sixties ! Soyons optimiste, notre beau pays cultive toujours son notoire statut de terre d'asile du rock'n'roll. Et c'est tant mieux, surtout lorsque ces Norvins parisiens nous rappellent par ce deuxième album direct et lettré que les Animals, les Chesterfield Kings ou les Fleshtones ont toujours eu droit au gîte et au couvert. Orgue, guitares et voix ad hoc gravillonent ainsi l'allée d'un garage qui du coup n'est pas prêt de baisser le rideau”

“The Norvins, amb un nou treball que atravessa timpans, martells, neurones i que sacseja el cos de dalt a baix. Brutal l’inici amb Waste of Time, que en dos minuts posa les piles al més acabat. You Know That, Monk’s Hangover ila resta de temes, setze en total, i només dos superen els tres minuts, tenen tots els al·licients del pop-rock propi dels grups citats: cançons directes, immediates, executades amb urgència i acceleració passional. Ara només falta posar-se de genolls i desitjar que aquesta generació de bandes amb vocació retro i esperit rock n’ roll trobin l’espai adient i oferir un contrapunt definitiu al gèlid esnobisme que domina l’escena musical. Bandes com The Norvins recuperen la calidesa i passió, i ho fan a base de cançons i actitud. Dirt is Better!”

“Si il y a trois ans on clamait (un peu seul sur le coup) que Time Machine était un disque qui valait bien ceux des Urges ou des Revellions, Yoga With Mona se rapproche des meilleures galettes sixties du genre. Encore un effort et les Norvins pourraient bien nous sortir le disque que l'on attend tous. En attendant les Norvins ont sorti un excellent disque que l'on vous recommande chaudement.”

“Les Parisiens des Norvins sont de retour, deux ans après leurs excellents débuts avec l’album Time Machine. Yoga With Mona présente les mêmes ingrédients garage soul-punk que son prédécesseur, avec un supplément d’effluves psychédéliques (Better Of Dead et son intro à la cithare), sublimés par la fantastique pochette de Kiryk Drewinski. Les titres s’enchaînent sans que jamais l’énergie ne faiblisse. Cette Mona-Shiva un peu vénéneuse est diablement efficace et catchy, porté par un orgue crade à souhait, un harmonica hanté et la voix du chanteur — qui sonne comme celle d’un Paul Weller enroué. Un groupe à suivre qui confirme le grand retour du son garage.”

“For their second album (their debut was 2009’s Time Machine), this French quintet continues to create garage and beat sounds that echo the R&B of the Animals and Small Faces and revivalists like the Miracle Workers, Fuzztones, Lyres and Chesterfield Kings. The driving bass, reverbed guitars, hard-blown harmonica and whining organ will be familiar to fans of the Nuggets/Pebbles/Boulders series, even without the scratchy patina of original 45s. You pretty much know what you’re getting when there’s a pentagonal Vox Phantom guitar pictured on the album sleeve and the band has the taste and knowledge to cover the Gentlemen’s Texas punk classic “It’s a Crying Shame.” The Norvins make good their vintage equipment and give you the soundtrack for the hottest yoga session of the year.”

"Apparus fin 2004 mais fidèles à cette formation depuis 2007, les cinq asphalteurs parisiens goudronnent intensivement la piste qui les mènera au sommet du Beat et du Garage Punk à coup de pavés comme "Easy goin'Annie", "You got it right" ou "Nothin'", version corrosive d'un standard Nuggets des Ugly Ducklings. Malgrès un mixage timoré de la voix, "Time Machine" parvient grâce à ses ressources trépidantes à rivaliser sans vergogne avec les meilleures productions Garage du moment."

"Time Machine" is the "debut" of the Norvins, five Parisian boys who, with the paraphernalia of instruments truly "vintage" produce a powerful and dynamic "60's Garage-Punk", making the title even more curious, "Time Machine" as title is perfect, because the interconnection between the musical sounds remarkably powerful rhythm of the 60´s and the current time is combined in perfection, composed of 14 themes, among them jump two covers, "Nothin'" from The Ugly Ducklings and the already famous "Abba" of The Paragons, all the originals are embedded in powerful sounds of "farfisa" produced for an organ to rambles through beat uproar, much “fuzz” and a harmonic well placed, emphasis is still the voice of Edouard remarkably close to Mick Collins of the Dirtbombs, in short a record of “retro-garage”, solid and with original rhythms, very advisable.

"Eieiei, wenn ich diese Platte höre, ärgert's mich noch mehr, dass ich das Konzert der Pariser neulich im Kölner Tsunami Club aufgrund eines megamäßigen Katers ausfallen lassen musste. Das neueste Pferd im Soundflat-Stall ist nämlich eine echte Fuzz-Granate. Die Pebbles und Crypt-Compilations verinnerlicht, stilechtes Equipment und Outfit auch dabei. Was fehlt noch? Genau. Hits! Auch die haben die NORVINS nicht vergessen und so brauchen sie sich auch nicht vor den Brüdern im Geiste wie den CYNICS, PHANTOM KEYS oder den FLESHTONES zu verstecken. Auch die in diesem Genre zum guten Ton gehörenden Coverversionen haben sie natürlich nicht vergessen. Da wären zum einen „Nothin'" von den UGLY DUCKLINGS und „ABBA" von den PARAGONS. Das passt natürlich wie die Faust aufs Auge und die Songs fügen sich perfekt in den Rest der Platte ein. Nichts zu beanstanden also. So soll's sein und bei der nächsten Tour bin ich dann auch dabei."

“Ce groupe parisien entre par la grande porte dans le club des meilleurs gangs européens d'obédience Garage 60's.Et c'est le label allemand Soundflat qui fait office de parrain bienveillant. On avait déjà remarqué que les Norvins en avaient sous la pédale fuzz à travers une démo enthousiaste il y a quelques temps (voir Dig It ! "38).Ils y reprenaient amoureusement et sur des instruments vintage "Stop it baby !" et "You're gonna miss me". Deux ans et demi plus tard, la machine est bien huilée et le groupe sort (en vinyle et CD) un album vintage bourré de petites bombes à la Nuggets/Pebbles reliftées comme savaient le faire les Lyres ou les les Creeps dans les 80's.”

"France seems to be a hotbed for Garage Beat Punk action these days, and The Norvins from Paris are a recent addition to the roster, with their debut LP on Soundflat. The Soundflat Records stamp is a sort of guarantee, and the Norvins don't fail to deliver the goods. Being French, they know the recipe well, mixing a dose of fuzz guitar, some weezing organ, a solid backbeat, quirky vocals and a dash of wailing harp, to come up with a classic 60s US Punk sound. Being avid collectors of vintage instruments, they employ their Mosrite guitar, Vox bass and Farfisa organ to rip through twelve of their own compositions, plus two classic covers by the Ugly Ducklings and the Paragons. When it comes to this kind of Garage Punk, there's not much to talk about, you either love it or hate it, so all you huns into the Crimson Shadows, the Cynics, the Stomachmouths or the Dee Rangers, buy, borrow or steal this platter! Gentle hippies or boogaloo mods need not apply!"