La pluie à cessé de tomber,
Mes yeux s'ouvrent sur un jardin meurtri,
Je dérive à pas lents, regard délavé
Au soleil renaissant d'un jour à l'agonie.
Et je vois l'oiseau blanc, sur la branche posé,
Compagnon de mes jours aux tristesses extrémes
Et ses ailes qui pleurent sous ce ciel fatigué
Ajoutent à la grisaille de mon coeur en bohème.
Va lui dire , je t'en prie , toi qui es mon ami ,
Va lui dire que je l'aime et que je meurs d'elle ,
Va lui dire les sanglots qui hantent mes nuits
Et la couleur amère des langueurs cruelles !
Survole les montagnes , plaines et vallées
Et dépose sur sa vie les regrets de mon âme,
Bats toi contre le vent et le sable mêlés
Et réchauffe son coeur de ma dernière flamme !
Toi qui sais mes misères mes tragédies nocturnes,
Dis- lui bien que je l'aime, que je l'aime toujours ;
Conte lui mes chimères aux pâles rayons de lune,
Inconsolable peine d'un merveilleux amour !
daniel girardi poesie PEINE 2015protégé sacem –
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j'ai vu danser la mer par un soir de juillet,
j'ai voulu m 'y' noyer comme on noie ses regrets,
j'ai lu dans ton regard des millions de promesses,
j'ai adoré ta voix qui pleurait de tendresse.
j'ai tout perdu de toi, moi clown triste et infâme,
ton coeur s'est envolé, mais je garde ton âme
dans mes rêves assombris par trop de lassitude,
apparaissent par bribes de vagues certitudes..
ils approchent de l'enclos en souvenirs hagards,
les souffles des chevaux qui hantent ma mémoire
des yeux qui font l'amour à l'anneau de saturne
un sourire merveilleux qui danse avec la lune
ne fuyez pas, pas encore, mes souvenirs heureux!
je vous tiens en mon coeur, c'est si bon et si peu
l'eau salée de mes pleurs, ruisseau silencieux.
berce notre histoire aux rives de tes yeux bleus
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Daniel Girardi / Blog
peine poesie dg facebook reverbnation
La pluie à cessé de tomber, Mes yeux s'ouvrent sur un jardin meurtri, Je dérive à pas lents, regard délavé Au soleil renaissant d'un jour à l'agonie.
Et je vois l'oiseau blanc, sur la branche posé, Compagnon de mes jours aux tristesses extrémes Et ses ailes qui pleurent sous ce ciel fatigué Ajoutent à la grisaille de mon coeur en bohème.
Va lui dire , je t'en prie , toi qui es mon ami , Va lui dire que je l'aime et que je meurs d'elle , Va lui dire les sanglots qui hantent mes nuits Et la couleur amère des langueurs cruelles !
Survole les montagnes , plaines et vallées Et dépose sur sa vie les regrets de mon âme, Bats toi contre le vent et le sable mêlés Et réchauffe son coeur de ma dernière flamme !
Toi qui sais mes misères mes tragédies nocturnes, Dis- lui bien que je l'aime, que je l'aime toujours ; Conte lui mes chimères aux pâles rayons de lune, Inconsolable peine d'un merveilleux amour !
daniel girardi poesie PEINE 2015protégé sacem –
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REGRETS DG
j'ai vu danser la mer par un soir de juillet, j'ai voulu m 'y' noyer comme on noie ses regrets, j'ai lu dans ton regard des millions de promesses, j'ai adoré ta voix qui pleurait de tendresse.
j'ai tout perdu de toi, moi clown triste et infâme, ton coeur s'est envolé, mais je garde ton âme dans mes rêves assombris par trop de lassitude, apparaissent par bribes de vagues certitudes..
ils approchent de l'enclos en souvenirs hagards, les souffles des chevaux qui hantent ma mémoire des yeux qui font l'amour à l'anneau de saturne un sourire merveilleux qui danse avec la lune
ne fuyez pas, pas encore, mes souvenirs heureux! je vous tiens en mon coeur, c'est si bon et si peu l'eau salée de mes pleurs, ruisseau silencieux. berce notre histoire aux rives de tes yeux bleus
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